Les universitaires africains sont à la traîne dans la course à la recherche sur les technologies de la communication et leurs contributions au développement, selon une étude récente.
Par conséquent, les principales théories sur le terrain sont mises en place sans l’influence des universitaires africains. C’est ce qu’a révélé une étude présenté par des chercheurs à la conférence sur les technologies de l’information et de la communication pour le développement en 2010 (ICTD2010) tenue à Londres, Royaume-Uni, du 13 au 16 Décembre2010.
L’équipe de chercheurs a investigué, pour la première fois, des publications académiques dans le domaine des TIC-D entre 1990 et 2009, à l’aide de la Thomson Reuters ISI Web of Knowledge.
Les chercheurs ont également jeté un profond regard sur les résultats et thèmes de recherche sur une période plus récente (2007-2009), y compris une étude de certaines des revues internationales et africaines sur les TIC pour le développement.